Hugo Houle, cycliste professionnel
À toute vitesse
Né en 1990 à Ste-Perpétue, un petit village situé au centre du Québec c’est d’abord en triathlon qu’Hugo Houle s’initie aux sports. Étant un enfant turbulent à l’école, ses parents décident de l’inscrire dans le club de triathlon pour qu’il puisse dépenser son surplus d’énergie. C’est donc à l’âge de 9 ans qu’il commence la compétition de triathlon avec son petit frère Pierrik.
Au fil des années, Hugo développe un intérêt pour le cyclisme sur route, étant donné qu’il excelle davantage dans la discipline. C’est en 2010 qu’il se fait remarquer par l’équipe cycliste Garneau-Crocs, de Louis Garneau. Celui-ci contribue au lancement de sa carrière en lui fournissant tout le matériel nécessaire et en lui donnant accès aux plus importantes courses juniors en Amérique du Nord. C’est aussi à ce moment qu’il fait la rencontre de l’entraineur Pierre Hutsebaut.
En 2011, il complète sa technique policière, mais décide de mettre en veille le métier de policier pour se concentrer sur sa carrière de cycliste professionnel. Il fait alors la rencontre de Steve Bauer, directeur sportif de la toute première équipe pro continentale canadienne « Spidertech power by C10 ». C’est sous les couleurs de cette formation qu’il lance sa carrière professionnelle. Il devient 3 fois champion canadien junior et accède à une 4e place au championnat du monde espoir à Valkenburg, aux Pays-Bas. Ces résultats lui ouvrent les portes des meilleures équipes cyclistes mondiales.
En automne 2012, à l’âge de 22 ans, il est le premier québécois à signer un contrat avec l’équipe Ag2r La Mondiale, une équipe niveau « UCI World Tour », soit le plus haut niveau international.
À toute épreuve
Le 21 décembre 2012, alors qu’il venait à peine de mettre le pied au Québec, suite à un séjour en Europe avec sa nouvelle équipe, son frère Pierrick décide d’aller courir dans les rues de Ste-Perpétue. Voyant qu’il ne revenait pas, sa famille s’inquiète et part à sa recherche. C’est finalement un ami de la famille qui découvre le corps de Pierrik dans le fossé quelques heures plus tard. Il avait été heurté par un chauffard qui s’était sauvé et qui l’avait abandonné. Le chauffard a par la suite été reconnu coupable de délit de fuite mortel et a purgé une peine de prison.
Après le tragique événement, Hugo refuse d’abandonner et retourne en Europe pour prendre part à sa première année chez les professionnels. Durant les 5 saisons chez Ag2r La mondiale, il prend de l’expérience au sein du peloton professionnel Européen, et il prend part entre autres au Giro d’Italie et au tour d’Espagne.
Sous les couleurs de l’équipe nationale, il remporte la médaille d’or lors des Jeux panaméricains de Toronto, dans son épreuve de prédilection, le contre-la-montre. Ce qui lui a permis d’obtenir sa sélection pour les jeux olympiques de Rio en 2106, où il termine 20e du contre-la-montre.
En 2018, Hugo débute une nouvelle aventure avec la formation Kazakhe Astana Pro team. L’objectif ultime est de participer au Tour de France, et d’y reporter une étape en l’honneur de son frère ainé Pierrik.
À toute vitesse
Né en 1990 à Ste-Perpétue, un petit village situé au centre du Québec c’est d’abord en triathlon qu’Hugo Houle s’initie aux sports. Étant un enfant turbulent à l’école, ses parents décident de l’inscrire dans le club de triathlon pour qu’il puisse dépenser son surplus d’énergie. C’est donc à l’âge de 9 ans qu’il commence la compétition de triathlon avec son petit frère Pierrik.
Au fil des années, Hugo développe un intérêt pour le cyclisme sur route, étant donné qu’il excelle davantage dans la discipline. C’est en 2010 qu’il se fait remarquer par l’équipe cycliste Garneau-Crocs, de Louis Garneau. Celui-ci contribue au lancement de sa carrière en lui fournissant tout le matériel nécessaire et en lui donnant accès aux plus importantes courses juniors en Amérique du Nord. C’est aussi à ce moment qu’il fait la rencontre de l’entraineur Pierre Hutsebaut.
En 2011, il complète sa technique policière, mais décide de mettre en veille le métier de policier pour se concentrer sur sa carrière de cycliste professionnel. Il fait alors la rencontre de Steve Bauer, directeur sportif de la toute première équipe pro continentale canadienne « Spidertech power by C10 ». C’est sous les couleurs de cette formation qu’il lance sa carrière professionnelle. Il devient 3 fois champion canadien junior et accède à une 4e place au championnat du monde espoir à Valkenburg, aux Pays-Bas. Ces résultats lui ouvrent les portes des meilleures équipes cyclistes mondiales.
En automne 2012, à l’âge de 22 ans, il est le premier québécois à signer un contrat avec l’équipe Ag2r La Mondiale, une équipe niveau « UCI World Tour », soit le plus haut niveau international.
À toute épreuve
Le 21 décembre 2012, alors qu’il venait à peine de mettre le pied au Québec, suite à un séjour en Europe avec sa nouvelle équipe, son frère Pierrick décide d’aller courir dans les rues de Ste-Perpétue. Voyant qu’il ne revenait pas, sa famille s’inquiète et part à sa recherche. C’est finalement un ami de la famille qui découvre le corps de Pierrik dans le fossé quelques heures plus tard. Il avait été heurté par un chauffard qui s’était sauvé et qui l’avait abandonné. Le chauffard a par la suite été reconnu coupable de délit de fuite mortel et a purgé une peine de prison.
Après le tragique événement, Hugo refuse d’abandonner et retourne en Europe pour prendre part à sa première année chez les professionnels. Durant les 5 saisons chez Ag2r La mondiale, il prend de l’expérience au sein du peloton professionnel Européen, et il prend part entre autres au Giro d’Italie et au tour d’Espagne.
Sous les couleurs de l’équipe nationale, il remporte la médaille d’or lors des Jeux panaméricains de Toronto, dans son épreuve de prédilection, le contre-la-montre. Ce qui lui a permis d’obtenir sa sélection pour les jeux olympiques de Rio en 2106, où il termine 20e du contre-la-montre.
En 2018, Hugo débute une nouvelle aventure avec la formation Kazakhe Astana Pro team. L’objectif ultime est de participer au Tour de France, et d’y reporter une étape en l’honneur de son frère ainé Pierrik.